«De plus en plus d’entreprises sous-traitent l’entretien de leurs espaces verts»

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Les activités du Groupe Laurenty sont souvent associées au nettoyage mais pas que… Le groupe dispose en effet d’une activité « espaces verts » en pleine croissance.

Né en 1953, le Groupe Laurenty a fait son chemin dans le secteur du nettoyage. « En 1978, l’entreprise s’est lancée dans les parcs et jardins en créant un département « espaces verts » », explique Jonathan Prenten, directeur marketing et communication pour le Groupe Laurenty. « Le balayage de voiries est venu s’ajouter en 1983 ainsi que le déneigement ».

Concrètement, le Groupe propose, en B-to-B, des activités classiques liées aux espaces verts. « Cela va de la création à l’entretien, l’élagage, la taille, la tonte, le désherbage ou encore le ramassage des déchets verts », poursuit Jonathan Prenten. Même si la concurrence est rude, c’est un secteur qui se développe au sein de Laurenty. « De plus en plus, les entreprises font appel à nous car elles se rendent compte que l’investissement dans les machines de qualité est important et que la formation du personnel dans ce secteur est primordiale donc elles externalisent », note-t-il. C’est aussi une activité hyper saisonnière qui va, globalement, de mars à octobre.

Secteur saisonnier

Le reste du temps, l’entreprise a développé une autre activité qui permet d’occuper le personnel des espaces verts. C’est le déneigement, un secteur, lui aussi, très saisonnier. « On le fait à la fois pour des entreprises privées mais aussi pour les administrations. Je crois que ce qui fait notre force dans ce secteur, c’est l’encadrement au niveau des équipes mais aussi notre réactivité. On travaille, par exemple, pour le secteur aérien. On a évidemment intérêt à être hyper réactif ».

Tout cela est évidemment possible grâce à un parc machines performant. « Notre parc est impressionnant, notamment avec des camions-balais et des machines de déneigement ». Bref, si cette activité n’est pas celle que l’on connaît le plus lorsque l’on parle de Laurenty, elle gagne en tout cas du terrain et cadre de plus en plus avec le travail de l’entreprise en matière de développement durable.

Denrée rare

La responsabilité sociétale de l’entreprise n’est, en tout cas, pas un vain mot chez Laurenty. « Dans le nettoyage mais aussi pour les espaces verts, on favorise l’accès au marché de l’emploi par rapport à d’autres secteurs aux exigences plus élevées », poursuit Jonathan Prenten. « On a aussi une empreinte très locale au niveau de l’emploi. Nos bâtiments sont proches de nos collaborateurs car nous voulons qu’ils soient proches de leur lieu de travail ».

A propos de l’eau, une denrée de plus en plus rare et chère, qu’en est-il dans un secteur comme le nettoyage ? « C’est clair que nous sommes un secteur où on utilise beaucoup d’eau. C’est la base de notre métier. On conscientise le personnel à une meilleure utilisation de celle-ci par des formations et nous avons déjà quelques machines qui réduisent la quantité d’eau et de produits d’entretien utilisés ». Ajoutons à cela des panneaux photovoltaïques pour les bâtiments, des bornes de recharge pour les véhicules électriques et une flotte de véhicules qui évolue sensiblement vers l’hybride ou le full électrique.

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